Le manque de trésorerie comme cause de faillite des PME est bien connu des experts et chefs d’entreprise. Pourtant, l’expérience des uns n’empêche pas les difficultés des autres…
Le fonctionnement de l’entreprise repose sur trois cycles :
Si le FR est suffisant pour couvrir le besoin, l’entreprise n’a pas de problème de trésorerie. En revanche, s’il est inférieur, l’entreprise sera en découvert bancaire.
Ainsi, le rapport entre le FR et le BFR détermine le niveau de trésorerie de l’entreprise.
– calculé par différence entre le montant des créances clients, la valeur des stocks et les dettes à court terme auprès des fournisseurs et des administrations ;
– anticipé : en l’exprimant en pourcentage du chiffre d’affaires, on peut l’estimer lorsque l’activité de l’entreprise varie ;
– maîtrisé en réduisant les stocks, les délais de règlement des clients ou en allongeant les délais de règlement des fournisseurs.
Le problème est qu’il varie sans cesse et que, par conséquent, la trésorerie doit être ajustée en permanence. Or, la PME n’en a pas conscience ou n’a pas les moyens de la surveiller au quotidien…
Si le FR se réduit (lorsqu’un investissement n’est financé que partiellement par un emprunt, par exemple), la trésorerie est réduite d’autant.
Si le BFR augmente (lorsqu’un client est en retard de paiement, par exemple), la trésorerie se réduit d’autant.
Si le chiffre d’affaires augmente, les achats, stockages et ventes augmentent. Le BFR augmente donc, ce qui entraîne une baisse de la trésorerie.
Si le chiffre d’affaires baisse, les stocks s’accumulent, les encaissements se réduisent, ce qui entraîne une baisse de trésorerie.
De nouveaux risques sur la trésorerie sont liés à l’incertitude des sommes à débourser.
Exemples : le montant des achats peut varier chaque jour, par exemple à cause des taux de change ou des cours en Bourse. De même, le montant des remboursements d’emprunt peut varier si l’entreprise a accepté un taux d’intérêt variable.
Le manque de trésorerie comme cause de faillite des PME est bien connu des experts et chefs d’entreprise. Pourtant, l’expérience des uns n’empêche pas les difficultés des autres…
Le fonctionnement de l’entreprise repose sur trois cycles :
Si le FR est suffisant pour couvrir le besoin, l’entreprise n’a pas de problème de trésorerie. En revanche, s’il est inférieur, l’entreprise sera en découvert bancaire.
Ainsi, le rapport entre le FR et le BFR détermine le niveau de trésorerie de l’entreprise.
– calculé par différence entre le montant des créances clients, la valeur des stocks et les dettes à court terme auprès des fournisseurs et des administrations ;
– anticipé : en l’exprimant en pourcentage du chiffre d’affaires, on peut l’estimer lorsque l’activité de l’entreprise varie ;
– maîtrisé en réduisant les stocks, les délais de règlement des clients ou en allongeant les délais de règlement des fournisseurs.
Le problème est qu’il varie sans cesse et que, par conséquent, la trésorerie doit être ajustée en permanence. Or, la PME n’en a pas conscience ou n’a pas les moyens de la surveiller au quotidien…
Si le FR se réduit (lorsqu’un investissement n’est financé que partiellement par un emprunt, par exemple), la trésorerie est réduite d’autant.
Si le BFR augmente (lorsqu’un client est en retard de paiement, par exemple), la trésorerie se réduit d’autant.
Si le chiffre d’affaires augmente, les achats, stockages et ventes augmentent. Le BFR augmente donc, ce qui entraîne une baisse de la trésorerie.
Si le chiffre d’affaires baisse, les stocks s’accumulent, les encaissements se réduisent, ce qui entraîne une baisse de trésorerie.
De nouveaux risques sur la trésorerie sont liés à l’incertitude des sommes à débourser.
Exemples : le montant des achats peut varier chaque jour, par exemple à cause des taux de change ou des cours en Bourse. De même, le montant des remboursements d’emprunt peut varier si l’entreprise a accepté un taux d’intérêt variable.